Les 24, 25 et 26 septembre 2021 a eu lieu, à Dédougou, les Grandes Nuits des Communautés sur le thème : « Promotion de la paix et la cohésion sociale : quelles contributions de la jeunesse ? ».

Grandes Nuits des communautés BURKINA FASO (GNC_BF) est un événement de marketing social à l’endroit des Jeunes. C’est un cadre d’échanges, de réflexion, d’expression artistique et culturelle dont le but unique est de promouvoir le dialogue inter communautaire et de réinventer des stratégies nouvelles de préservation de la cohésion sociale.

Cette activité a vu le jour grâce à l’action conjuguée de partenaires tels que l’association Impact’Ado Burkina, mais aussi et surtout par le biais du comité des GNC_BF dont monsieur DONYÉRÉ Ibrahim est le coordonnateur. Des jeunes comme Hama SIDIBÉ (responsable chargé de l’organisation du Forum National des Communautés), Aminata DIALLO (secrétaire générale) ont fait preuve de dynamisme dans l’organisation de cet événement.

Il a en outre bénéficier de l’accompagnement des parrains M Karim Lomboza KONDÉ (maire de la ville de Dédougou) et Mamadou DRABO (Président du Conseil Régional de la Boucle du Mouhoun).

Participants au Forum national des communautés.

De façon pratique GNC_BF s’est articulé sur quatre axes d’action que sont :
• LeForum National des Communautés FNC (organisé par Hama SIDIBÉ ) ;
• Le concours Ado Intelligence CAI (organisé par BOLI Daniel) ;
• Le Méga Concert Burkindi (organisé par KÉKÉLÉ Damus) ;
• Le Village des Communautés (organisé par Célestin BICABA ).

Ces activités toutes organisées par ces jeunes dynamiques et ambitieux, ont permis d’impliquer davantage la jeunesse et de l’encourager à apporter sa pierre à la construction d’un havre de paix.

M. DONYÉRÉ Ibrahim, coordonnateur GNC_BF.

Le coordonnateur général dans son mot s’est exprimé en ces termes : « Pendant que nos forces de défense et de sécurité œuvrent pour le retour de la paix, pendant que de grandes action humanitaires travaillent à booster la résilience des populations vulnérables, pendant que les différentes politiques sectorielles s’adaptent dans nos ministères et institutions pour faire face aux nouvelles réalités ! Tel un colibri, nous Association socioculturelle dénommée : "Impact’Ado Burkina " via Grandes Nuits des Communautés décidons d’apporter notre partition ».

En effet, quel qu’en soit notre domaine d’intervention, chaque citoyen (individuellement ou en groupe) doit impérativement apporter une force motrice au développement socio-économique et culturel, gage de développement durable.

Rosine LOMPO, Observatrice Civitac, Zorgho