Le samedi 8 juillet 2023, Herman CONGO, gérant de l’entreprise Baraka et BTP et président de l’Association des jeunes bâtisseurs du Burkina Faso a lancé officiellement les activités de son projet de formation dénommé ‘’Un jeune, un métier d’avenir’’. Ainsi, durant un mois, environ 500 jeunes seront formés dans 5 corps de métiers dits d’avenir.

Le projet de formation ‘’Un jeune, un métier d’avenir’’ vise à donner aux jeunes Burkinabè ayant au moins 18 ans la possibilité de se former dans des filières comme la peinture, la pose des carreaux, la construction, l’électricité bâtiment, l’énergie solaire, mais aussi la plomberie sanitaire.

Selon le promoteur Herman CONGO, la formation sera subdivisée en deux volets. Une formation dédiée aux jeunes pour la période des vacances et une autre pour les jeunes déplacés internes.

Herman CONGO, gérant de l’entreprise Baraka et BTP et président de l’Association des jeunes bâtisseurs du Burkina Faso.

« Le premier volet de ‘’Un jeune, un métier d’avenir’’, c’est de donner des formations à des jeunes de façon générale pendant les vacances pour les occuper sainement, et le deuxième volet, accompagner par des formations les jeunes déplacés internes sur cinq corps de métier que sont la construction, la peinture, la pose de carreaux, la plomberie sanitaire, l’électricité bâtiment et l’énergie solaire », a-t-il expliqué.

Pour les jeunes déplacés internes, Herman CONGO précise : « L’idée c’est de leur permettre de faire un projet complet et de leur permettre de réhabiliter, reconstruire leurs maisons qui ont été saccagées ou d’être une main-d’œuvre locale pour les entrepreneurs ».

A en croire le promoteur, à la fin de la formation un projet témoin viendra démontrer les compétences que ces jeunes auront acquises.

Conscient qu’il serait difficile d’atteindre ses objectifs de former les 500 jeunes déplacés internes tout seul, Herman CONGO n’a pas manqué de lancer un appel aux personnes de bonnes volontés, les partenaires techniques et financiers, de ne pas hésiter à l’accompagner pour relever ses défis, pour l’édification du pays.

Clarisse KABORÉ, Observatrice Civitac, Ouagadougou